samedi 30 avril 2011
jeudi 28 avril 2011
mardi 26 avril 2011
lundi 25 avril 2011
Songzio Automne/Hiver 2011/12
Voici nos tenues préférées de la collection Songzio automne hiver 2011/2012 :
Images courtesy of TOTEM.
dimanche 24 avril 2011
Andrey Smidl
Andrey walked following fall winter 2011/12 shows :
John Lawrence Sullivan and Yves Saint Laurent (Paris) ;
Marc by Marc Jacobs (New York) ;
Topman Design, Lou Dalton (London).
He also features in the editorial "Band of Brothers" photographed by Miguel Reveriego for the spring summer 2011 issue of Vogue Hommes Japan.
samedi 23 avril 2011
vendredi 22 avril 2011
Julius Automne/Hiver 2011/12
Voici nos tenues préférées de la collection Julius automne hiver 2011/2012 :
Images courtesy of TOTEM.
jeudi 21 avril 2011
mercredi 20 avril 2011
Juun.J Automne/Hiver 2011/12
La collection automne-hiver 2011/12 de Juun.J est sans conteste l'une de nos préférées de la saison.
Dans une salle obscure, la musique alterne entre la techno sombre et lente de Fischerspooner et le chant lyrique d’Owen Pallett, soulignant la double nature de cette collection, qui vise la légèreté tout en reposant sur les accumulations.
On pourrait dire qu’il s’agit ici pour Juun.J de montrer en quoi le vêtement relève non seulement de la coupe mais aussi de l’art de le porter ; le stylisme des collections et la mise en scène de leur présentation étant toujours des plus étudiés.
Dans une salle obscure, la musique alterne entre la techno sombre et lente de Fischerspooner et le chant lyrique d’Owen Pallett, soulignant la double nature de cette collection, qui vise la légèreté tout en reposant sur les accumulations.
On pourrait dire qu’il s’agit ici pour Juun.J de montrer en quoi le vêtement relève non seulement de la coupe mais aussi de l’art de le porter ; le stylisme des collections et la mise en scène de leur présentation étant toujours des plus étudiés.
Ainsi, on retrouve dans les coiffures, cheveux plaqués vers l’arrière et séparés en deux par une ligne de fracture en zigzag la même idée qui guide les découpes caractérisant les tenues, comme si le designer avait eu l’intention de créer des ouvertures inattendues qui transfigurent le vêtement pour lui donner une nouvelle forme.
Intégrant fentes, superpositions, courbures et prolongements inattendus, le vêtement n’est pas désigné comme multifonctionnel, mais poétisé, attiré non pas vers la fiction d’un impossible mais vers une réalité rendue possible. Tout l’art de Juun.J repose sur cette tension, inhérente à sa coupe, vers un surréalisme à la fois kafkaïen – ses mannequins ont l’allure et les accessoires (lunettes, pochettes) de jeunes clercs de banque – et pictural : on pense en particulier à Magritte et à la tentation du trompe-l’œil.
Il faut alors porter toute son attention aux formes qui ne cessent de se réinventer, de bifurquer, pour transformer le vêtement : la veste d’un costume se recourbe en un savant jeu de continuité entre extérieur et intérieur pour devenir manteau à larges épaules ; une autre veste se prolonge en manteau dont le bas est relevé et porté sur le bras, telle une traîne.
L’épaule est le point de focalisation de cet art du porter : vestes, trenchs, blousons et pardessus sont posés, jetés sur les épaules, dérivant en capes, ou bien intégrés à la veste du dessous pour créer des épaulettes surdimensionnées et autres effets stylistiques. Les manches sont ainsi presque systématiquement redoublées, ne serait-ce que par la présence de ces gants qui chevauchent la chemise sur toute la longueur du bras.
C’est alors comme si le vêtement ne devait jamais prendre fin mais reposer sur une continuité maximale : où commence-t-il, où finit-il ? quelle pièce est-elle finalement indépendante des autres ? Les chaussures elles-mêmes semblent à peine sorties d’un moule sans que le travail de finition ait encore été accompli.
La silhouette qui illustre peut-être le mieux cette interrogation est celle qui intègre dans le manteau la possibilité – alors devenue nécessité – de le porter par-dessus la tête, comme lorsque l’on veut se protéger des intempéries. Cette silhouette qui est la plus marquante du défilé indique alors que ce n’est peut-être pas l’homme qui assigne sa fonction au vêtement, mais qu’il est en réalité possible que le vêtement – de par sa forme et sa matière – façonne l’homme en une création plus subtile et plus poétique.
La silhouette qui illustre peut-être le mieux cette interrogation est celle qui intègre dans le manteau la possibilité – alors devenue nécessité – de le porter par-dessus la tête, comme lorsque l’on veut se protéger des intempéries. Cette silhouette qui est la plus marquante du défilé indique alors que ce n’est peut-être pas l’homme qui assigne sa fonction au vêtement, mais qu’il est en réalité possible que le vêtement – de par sa forme et sa matière – façonne l’homme en une création plus subtile et plus poétique.
Images courtesy of TOTEM
mardi 19 avril 2011
Tomek Szalanski
Tomek walked three shows in Paris : MiharaYasuhiro, Viktor & Rolf and Thierry Mugler.
He also features in the Mariusz Przybylski fall winter 2010/11 lookbook.
lundi 18 avril 2011
samedi 16 avril 2011
Revue de Presse des Défilés Automne-Hiver 2011/12 (1)
L'Express Styles, 3109, semaine du 2 au 8 février 2011, par Guillaume Crouzet et Anne-Laure Quilleriet
(C'est avec tristesse que nous avons appris le décès d'Anne-Laure Quilleriet.)
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